ENQUETE SUR LA REGION TOURISTIQUE
Comprendre les attitudes, les comportements des acteurs, est un élément fondamental pour étudier les problématiques du tourisme appliqué à un terrain d’étude spécifique. Mais quelle est l’échelle adéquate ? Une définition par les lieux élémentaires du tourisme (station, ville-station…), indépendants les uns des autres, semble incomplète pour expliquer les réalités des mobilités engagées dans les pratiques touristiques. L’intérêt de mon travail de recherche est de proposer une réponse d’échelle régionale. Pourtant, la région est un système dialectique déséquilibré, puisqu’il est tiraillé entre deux forces : l’unité et la diversité. Mais qu’en est-il d’une région touristique ? Dans les précédentes études réalisées, il existe fréquemment une inadéquation entre la définition spatiale et la définition fonctionnelle. On s’aperçoit aussi que c’est souvent l’échelle, adoptée pour définir l’espace pertinent, qui crée le problème. L’objet de cette thèse est d’essayer de définir la supra-localité touristique et de comprendre son fonctionnement. Dans un souci de méthodologie, nous envisageons notre recherche en utilisant le recours à l’analyse clinique et à la comparaison d’espaces laboratoires pertinents face à notre problématique. La délimitation spatiale reste un problème puisqu’elle constitue en partie l’objet de la recherche. Par simplification de la localisation, nous pouvons nous baser sur des dénominations géographiques, politiques, culturelles, qui permettent de déterminer les terrains : Alpes, vallée de la Loire, côtes bretonnes. Notre organisation d’ordre principalement qualitative permettra la confrontation entre les outils bibliographiques documentaires et l’enquête de terrain.
Comprendre les attitudes, les comportements des acteurs, est un élément fondamental pour étudier les problématiques du tourisme appliqué à un terrain d’étude spécifique. Mais quelle est l’échelle adéquate ? Une définition par les lieux élémentaires du tourisme (station, ville-station…), indépendants les uns des autres, semble incomplète pour expliquer les réalités des mobilités engagées dans les pratiques touristiques. L’intérêt de mon travail de recherche est de proposer une réponse d’échelle régionale. Pourtant, la région est un système dialectique déséquilibré, puisqu’il est tiraillé entre deux forces : l’unité et la diversité. Mais qu’en est-il d’une région touristique ? Dans les précédentes études réalisées, il existe fréquemment une inadéquation entre la définition spatiale et la définition fonctionnelle. On s’aperçoit aussi que c’est souvent l’échelle, adoptée pour définir l’espace pertinent, qui crée le problème. L’objet de cette thèse est d’essayer de définir la supra-localité touristique et de comprendre son fonctionnement. Dans un souci de méthodologie, nous envisageons notre recherche en utilisant le recours à l’analyse clinique et à la comparaison d’espaces laboratoires pertinents face à notre problématique. La délimitation spatiale reste un problème puisqu’elle constitue en partie l’objet de la recherche. Par simplification de la localisation, nous pouvons nous baser sur des dénominations géographiques, politiques, culturelles, qui permettent de déterminer les terrains : Alpes, vallée de la Loire, côtes bretonnes. Notre organisation d’ordre principalement qualitative permettra la confrontation entre les outils bibliographiques documentaires et l’enquête de terrain.
